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L’économie circulaire à l’heure de la crise du logement: analyse et perspective 2030

  • CETEQ
  • 12 févr.
  • 2 min de lecture



L’accès au logement à un prix abordable se complexifie depuis plusieurs années au Québec. La disponibilité des logements est réduite et les prix sont en hausse.


À ce titre, la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) estime que le Québec aura besoin de construire 860 000 logements additionnels d’ici 2030 pour retrouver un niveau d’abordabilité similaire à celui de 2004. Ces logements s’additionnent aux 330 000 prévus dans le scénario de base pour porter le total à 1 190 000 nouveaux logements nécessaires au Québec d’ici la fin de la décennie .


En même temps, la gestion des résidus de chantier issus de la construction, rénovation et démolition continue d’être un défi de taille pour l’économie circulaire québécoise. Dans le cadre de son bilan de sur la gestion des matières résiduelles publié en 2023 à partir des données de 2021, RECYC-QUÉBEC estimait que plus de 3,5 millions de tonnes de ces résidus avaient été générées3 . Environ 47% de ces matières se sont retrouvées directement à l’élimination, une hausse de 12% par rapport à 2018.


Évidemment, les activités de construction résidentielle génèrent des résidus. Ces résidus peuvent être composés de plusieurs matériaux, incluants :

● le bardeau d’asphalte (ou autre revêtement de toiture);

le bois et le bois traité;

● le carton (boîtes et tube à forme de coulée de béton);

● le gypse;

● les plastiques;

● le verre; et

● d’autres matériaux de construction.


Les efforts pour régler la crise du logement et pour rehausser la circularité des résidus de chantier ont été trop souvent traités en silo malgré leur étroite interrelation. Le CETEQ s’est donc penché sur la relation qui existe entre ces deux enjeux cruciaux.


Rapport complet:


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