Le Conseil des entreprises en technologies environnementales du Québec (CETEQ) se réjouit de l’adoption par l’Assemblée nationale du projet de loi 102, qui dote le Québec d’un régime d’autorisation environnementale plus efficace. La modernisation de la Loi sur la qualité de l’environnement (LQE) permettra, entre autres, d’accélérer le processus de demande pour les entreprises, ce qui facilitera la mise sur pied de leurs projets et des nouvelles technologies environnementales. Nous tenons également à saluer les efforts du ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, monsieur David Heurtel, qui a travaillé de concert avec l’ensemble des acteurs pour réviser en profondeur une loi qui ne l’avait pas été depuis 1972.
La Loi modifiant la Loi sur la qualité de l’environnement afin de moderniser le régime d’autorisation environnementale et modifiant d’autres dispositions législatives notamment pour réformer la gouvernance du Fonds vert répond en effet aux besoins et aux demandes des entreprises d’accentuer la modulation du régime en fonction du risque environnemental, tout en gardant des standards environnementaux élevés. Pour lutter contre les changements climatiques et offrir aux générations actuelles et futures un environnement sain, il est nécessaire d’innover et, pour ce faire, il était nécessaire que le Québec favorise le développement des technologies environnementales par une Loi sur la qualité de l’environnement qui soit claire, prévisible et optimisée. Et, faut-il le rappeler, le développement économique et la protection durable de l’environnement vont aujourd’hui de pairs.
« Les modifications de la LQE auront d’importants impacts sur les règlements qui en découlent. Les défis actuels et futurs demandent à ce que nous travaillions tous ensemble, surtout avec le rôle et les nouvelles responsabilités de RECYC-QUÉBEC, qui devient ainsi un partenaire clé », a déclaré Richard Mimeau, directeur général du CETEQ.